Chasse

La chasse est la traque d'animaux dans l'objectif de les capturer ou de les abattre. Lorsque la chasse est soumise à une réglementation, la pratique de la chasse en dehors de son cadre légal est nommée braconnage.



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Chasse - Question animale

Joachim von Sandrart, Novembre, Huile sur toile, 1643

La chasse est la traque d'animaux dans l'objectif de les capturer ou de les abattre. Lorsque la chasse est soumise à une réglementation, la pratique de la chasse en dehors de son cadre légal est nommée braconnage. La cynégétique est l'art de la chasse.

Le chasseur est défini par le Codex alimentarius comme une personne qui participe à l'abattage du gibier et/ou à la saignée, à l'éviscération partielle ainsi qu'à l'habillage partiel sur le terrain des animaux abattus[1].

Histoire et traditions

Scène de chasse, mosaïque romaine du IVe siècle, Villa De Casale, Sicile

Mythologie

Les mythes fondateurs évoquent fréquemment la chasse que des Dieux ou des animaux auraient enseignée à l'Homme. Certains pensent que l'opposition biblique de Caïn et Abel pourrait être le reflet de la supplantation du chasseur-cueilleur par l'agriculteur éleveur. La Grande muraille de Chine a elle-même pu être interprétée comme une marque de séparation entre peuples cultivateurs sédentarisés et les nomades chasseurs.

Dans la mythologie romaine, la déesse de la chasse, Diane, est une femme. Historiquement et ethnographiquement, il semble néenmoins que la chasse ait été principalement pratiquée par les représentants du sexe masculin dans l'espèce humaine.

Origines

Scène de chasse à l'arc dans l'art levantin espagnol (Néolithique)

La pratique de la chasse par les premiers représentants du genre Homo fait toujours débat au sein de la communauté scientifique[2], [3]. Selon certains archéologues et paléontologues, l'analyse des traces d'outils et des ossements fossiles montre que nos ancêtres ont aussi consommé des cadavres d'animaux morts naturellement[4], [5], [6] ou des animaux blessés ou malades qu'ils achevaient plus aisément.

La chasse est clairement attestée dans les gisements archéologiques liés à l'homme de Néandertal[7], [8], [9]. À Coudoulous ainsi qu'à La Borde, les néandertaliens ont utilisés des avens comme pièges naturels pour abattre de nombreux grands bovidés (bisons et aurochs). Elle est aussi probable pour des périodes antérieures[10]

Le piégeage de petits animaux est une pratique particulièrement ancienne. Des populations préhistoriques ont pratiqué une chasse presque monospécifique (mammouth, renne) à tel point que certains auteurs ont évoqué une chasse spécialisée. Il semble que les chasseurs-cueilleurs suivaient leur gibier, remontant vers le nord l'été et revenant au sud bénéficier d'un climat plus doux l'hiver. Cette pratique a encouragé un nomadisme que les Inuits et certaines tribus amérindiennes pratiquaient toujours il y a peu, mais qui n'existe quasiment plus, les grands animaux (sauf les oiseaux migrateurs) étant d'autre part complètement limités dans leurs déplacement par une fragmentation écopaysagère croissante, essentiellement due au morcellement du paysage par les infrastructures de transports (autoroutes, TGV clôturés, canaux aux berges infranchissables, etc. )

Avec la naissance du sédentarité et de l'élevage, l'importance de la chasse comme moyen de subsistance diminua pour une grande partie des populations. Déjà dans certaines cultures antiques, la chasse n'était plus reconnue que comme un passe-temps. De plus en plus, elle ne fut fréquemment pratiquée que par une petite partie de la population.

De nombreux rédigés sont depuis l'Antiquité consacrés aux techniques cynégétiques et de piégeage. La notion de droit de chasse est évoquée pour la première fois dans le recueil de coutumes des Francs Saliens (riverains de la Sala ou Yssel) rédigé sous Clovis (époque mérovingienne) et dénommé ultérieurement «loi salique». L'évolution de ce concept s'est articulée alternativement à travers des périodes de permissivité et de restriction, ou alors de prohibition.

Moyen Âge

Article détaillé : Chasse en France.

Au Moyen Âge, la chasse était de plus en plus devenue un privilège de la noblesse et des dignitaires de l'État ou du clergé. À cette époque s'est formalisée ce privilège : la chasse au grand gibier était réservée aux nobles et le petit gibier (lièvres, volatiles) laissé au reste de la population. Certaines zones étaient réservées pour les chasses royales.

En France au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime, la chasse est un plaisir de gentilhomme et un privilège seigneurial. Les rois sont grands chasseurs et entretiennent des équipages importants. Être admis aux chasses du roi est un des plus grands honneurs de la Cour.

Le seigneur haut-justicier a ce droit dans l'étendue de sa haute-justice, le seigneur local dans sa seigneurie. Les roturiers n'ont pas ce droit sauf s'ils ont acquis un fief, une seigneurie on une haute-justice (ordonnance sur les eaux et forêts de 1669). Les seigneurs ecclésiastiques, les dames hautes-justicières, les nobles âgés sont tenus de faire chasser pour diminuer le surplus de gibier nuisible aux cultures (ordonnance de juillet 1701).

Les braconniers sont craints en particulier à cause de l'éventualité du port d'arme. Les contrevenants sont sévèrement punis. L'édit de 1601 prévoit l'amende et le fouet pour la première infraction, le fouet et le bannissement pour la première récidive, les galères et la confiscation des biens à la seconde récidive, la mort en cas de troisième récidive. L'ordonnance de 1669 écarte la peine de mort. Les gardes-chasses n'ont pas le droit au fusil.

Pour permettre l'existence du gibier, il est interdit de moissonner avant la Saint-Jean, d'enlever les chardons, d'enclore par des murs les terres. Il faut planter des haies d'«épines» auprès des forêts royales. Il est interdit de tuer les lapins sauf sous la direction des agents des eaux et forêts (les capitaineries).

Pour protéger le travail des paysans et les récoltes, les chasseurs ne doivent pas passer dans les terres ensemencées et quand les céréales sont en «tuyaux». Les vignes sont interdites de chasse du 1er mai jusqu'aux vendanges. Mais ces interdictions sont peu observées. Le droit de chasse est un des plus haïs par les paysans.

Coutumes

Les différents types de chasse

Chasse individuelle

Abri cache pour la chasse aux cerfs.

Chasse en groupe

Autre modes de chasse

Illustration du traité de fauconnerie De arte venandi cum avibus

Chasse par type de gibier

Législation française

L'ouverture de la Chasse, peinture de Buss reproduite en estampe dans Les Musées chez soi
Article détaillé : Droit de la chasse en France.

Avec la Révolution française, la chasse s'est popularisée en Europe. Avec les vagues de colonisations, les modes de chasse par arme à feu se sont développées sur l'ensemble des continents et elle reste une pratique plutôt rurale, qui tend à être de plus en plus encadrée (permis de chasser, licence, plans de chasse, droits de chasse…) qui alimente une économie importante (jusqu'à 70 % des revenus forestiers et fréquemment au moins 50 % en France).

En France, le privilège du droit de chasse de la noblesse instauré par une ordonnance de 1396, relayé ultérieurement par un droit de chasse exclusif du propriétaire terrien et la constitution de vastes réserves de chasse pour «les plaisirs du roi» (les capitaineries) formeront les règles principales pendant près de quatre siècles jusqu'à la Révolution conduisant à l'abolition des privilèges dans la nuit du 4 août 1789. En réalité, ce qui a été aboli suite à la nuit du 4 août, c'est le droit de chasse exclusif. Même si le droit de chasse continue à être reconnu comme un attribut du droit de propriété, le principe de la liberté de chasser se substitue au droit exclusif. C'est ce qui explique qu'en 1844, le Parlement adoptera une solution de compromis autorise tous de chasser avec l'accord tacite du propriétaire.

La loi du 3 mai 1844 forme toujours, à l'heure actuelle, le fondement de l'organisation de la chasse dans son ensemble. Le gibier est alors reconnu comme objet de cueillette et nul ne songe, à l'époque, à en gérer les effectifs, ni à en protéger les biotopes. Cette législation a beaucoup continué depuis, complétée par diverses dispositions adoptées au cours du XXe siècle.

Cette loi a surtout interdit le droit à chasser avec des lévriers.

En droit, la chasse est définie comme un prélèvement artificiel sur la faune terrestre. La loi dite Verdeille définit l'acte de chasse comme «tout acte volontaire lié à la recherche, à la poursuite ou à l'attente du gibier ayant pour but ou pour résultat la capture ou la mort de ce dernier» (article L. 420-3 du code de l'environnement).

Critiques envers la chasse

Annonce de battue

Le débat sur la chasse, sur certains types de chasse ou sur ses excès, est extrêmement ancien. Ainsi, Diderot regrette dans l'article consacré à la chasse dans l'Encyclopédie que le goût de la chasse «dégénère presque toujours en passion ; qu'alors il absorbe un temps précieux, nuit à la santé, et occasionne les dépenses qui dérangent la fortune des grands, et qui ruinent les particuliers».

La chasse (et certains types de chasse surtout) fait l'objet de nombreuses critiques de la part d'associations et de personnes soucieuses de comportement éthique envers les animaux. Celles-ci remettent en question des éléments tels que :

Impacts environnementaux

Vers 1875, pile de crânes de bisons conçus pour la fabrication d'engrais. Quelquefois les cadavres étaient abandonnés dans la prairie, simplement dépouillés de leur fourrure.

Tout en donnant la possibilité la conservation de certaines zones humides ou forestières comme lieu de chasse, l'activité cynégétique a historiquement marqué les écodispositifs et les paysages, surtout lorsqu'elle s'est accompagnée de l'usage du feu, des chiens ou de rapaces dressés, du piégeage et du poison.

Si une espèce comme le tigre à dents de sabre semble avoir naturellement disparu, de nombreuses espèces qui ont aisément survécu aux trois dernières glaciations, ont brutalement disparu dans l'hémisphère nord et en Australie, et sur un certain nombre d'îles, semble-t-il du fait de la chasse, bien avant l'extension de l'agriculture et des villes. L'archéologie préhistorique et la paléontologie montrent que ces extinctions ont toujours commencé par la disparition des gros animaux (dont en Europe mammouth, éléphant, ours des cavernes, lion des cavernes, saïga, megaloceros, etc. ). Ces extinctions ont coïncidé avec l'extension des populations de l'Homme de Cro-Magnon ou de ses premiers descendants particulièrement habiles dans l'usage du silex, du propulseur de sagaies, de l'arc, et peut-être de techniques de piégeage et d'empoisonnement.

En Europe de l'Ouest , à la fin du Moyen Âge, la majorité des grands mammifères (cerf, chevreuil, aurochs, bison, renne, etc. ) étaient en régression, outre dans les forêts royales et les zones reculées. Même les gens d'église pouvaient pratiquer la chasse comme le rappelle un parchemin du moine Abélard qui interdit aux moines qu'il a sous son autorité de chasser l'ours plus de deux jours par semaine. Un menu commun de banquet de Louis XIV pouvait comprendre 300 oursons farcis.

Après la révolution française qui a démocratisé la chasse, les grands mammifères chassés et les oiseaux ont toujours fortement régressé, disparaissant de régions entières (ou complètement pour l'aurochs) et partout hors des zoos puis des anciennes forêts royales de Pologne.

En Amérique du Nord, l'utilisation généralisée des fusils a particulièrement rapidement génèré la régression d'espèces telles que le bison des prairies et la disparition totale des pigeons migrateurs qui par vols de millions d'oiseaux pouvaient obscurcir le ciel et cacher le soleil il y a deux siècles à peine. L'abattage systématique des bisons était plus politique que du fait des chasseurs, dans l'objectif avoué d'affamer les indiens.

Ce n'est qu'à partir des années 1960/1970 que suite aux réglementations, aux plans de chasse (instauré sur l'initiative des chasseurs), ainsi qu'à des réintroductions, et grâce à une alimentation artificielle dite «agrainage» que ces populations se sont reconstituées, sur des bases génétiques appauvries, et dans le cas du sanglier après croisements avec des cochons, mais non sans succès quantitatifs, quelquefois au point de faire d'importants dégâts dans les cultures ou dans les forêts surexploitées, posant des problèmes dits de déséquilibres sylvocynégétiques). Les populations humaines des régions tropicales et équatoriales, outre sur les îles, ne semblent pas avoir fait disparaître d'espèces par la chasse, tandis que les disparitions et régressions ont été particulièrement significatives dans les zones tempérées de l'hémisphère nord et en Australie.

À la fin du XXe siècle, dans plusieurs pays a émergé un courant en faveur d'une chasse écologiquement responsable, représenté par l'ANCER en France.

Fonctions de la chasse

Un chasseur avec son cerf

Au départ, la chasse est une source de nourriture carnée mais également de ressources diverses telles que la peau, la fourrure, la corne, les bois, l'os, les tendons, les dents, etc. Dans les régions arctiques, pour les Inuits, c'était jusqu'à il y a quelques décennies l'unique source de nourriture avec la pêche. La chasse a pu aussi avoir comme fonction de repousser ou d'éliminer des prédateurs dangereux pour l'homme, tels que le lion des cavernes ou l'ours des cavernes, qui ont pu être en compétition avec l'homme pour occuper certaines cavités ou y hiverner. Les prédateurs menaçant son cheptel domestique (loup, lion, tigre…) ont longtemps été pourchassés, fréquemment jusqu'à leur extinction dans les grandes régions d'élevage.

La chasse a aussi une importance rituelle ou initiatique pou les jeunes adultes, comme c'est toujours le cas chez certaines groupes humains. Pour être reconnu comme adulte, le jeune Inuit devait affronter et tuer un ours blanc adulte avec un couteau ou un poinçon.

Avec la révolution néolithique et l'avènement de l'élevage, outre dans les forêts tropicales et dans les régions polaires, la chasse pour la subsistance a énormément perdu en importance. Elle s'est progressivement transformée en activité de loisir mais reste toujours inévitable en ce qui concerne la régulation d'herbivores en l'absence de prédateurs naturels. Fréquemment réservée aux classes dominantes (la noblesse, puis les notables en Europe) avant de se démocratiser, après la Révolution en France, retrouvant quelquefois sa fonction originelle dans les périodes de disette.

À la fin du XXe siècle, en Occident, le monde de la chasse tente de faire comprendre à la mouvance écologiste la fonction de régulation des populations animales herbivores, à la place des grands prédateurs disparus ou devenus rares, surtout dans les régions fortement anthropisées. Ses fonctions écologiques s'étendent aussi à la préservation d'espèces menacées par les activités humaines, comme le petit tétras dans les Alpes, et au développement d'espèces jadis chassées de façon aléatoire. Le tir sélectif a ainsi fait ses preuves pour une gestion restauratoire de populations de cerfs ou de quelques espèces emblématiques comme le chamois ; les plans de chasse ont dynamisé les populations de sanglier à des niveaux souvent trop importants dans certaines régions, ce qui pose des problèmes quant au financement de l'indemnisation des agriculteurs victimes de dégâts.

La chasse joue aussi un rôle significatif dans la préservation des milieux naturels. Des espaces remarquables comme les zones humides bénéficient d'une protection sans commune mesure face à l'assèchement ainsi qu'à l'urbanisation. De même, les fédérations départementales des chasseurs achètent chaque années des terrains ayant un intérêt spécifique pour la biodiversité en vue de les préserver.

En revanche, de nombreux territoires ont recours à des lâcher de gibier de tir, qui affaiblissent énormément les populations existantes lorsque celles-ci n'ont pas déjà disparu du fait de la dégradation de leurs milieux et de la prolifération d'espèces classées nuisibles comme la corneille noire. Les lâcher de gibier de tir sont par conséquent à proscrire, au profit de véritables politiques de restauration des milieux, seules capables de permettre un retour des espèces sensibles comme les perdrix, le lapin ou le lièvre, ou alors d'espèces protégées comme le râle des genêts ou l'outarde canepetière.

Pour certains opposants, la fonction de régulation écologique de la chasse reste particulièrement discutée, car la sélection naturelle pratiquée par les grands prédateurs qui pistent et tuent préférentiellement les animaux jeunes et inexpérimentés, malformés, vieux et malades, n'est que rarement identique dans ses effets aux résultats du tir au fusil, surtout pour la chasse de nuit (oiseaux d'eau) qui ne permet pas de distinguer l'état des oiseaux ni même d'identifier avec certitude l'ensemble des espèces, ou concernant une grande variété d'espèces non chassées par l'homme (souris, mulots et autres campagnols, par exemple) qui sont les principales proies du loup, du renard, etc., longtemps empoisonnés ou piégés comme concurrents de l'hommme, mais que le chasseur semble difficilement pouvoir remplacer. De plus, certaines études laissent penser que les déplacements de chiens et d'espèces gibier ou certaines introductions de gibiers ont des impacts sanitaires importants sur les populations sauvages : zoonoses, parasites, appauvrissement ou dérives génétiques, pollution génétique par introduction d'animaux exotiques, d'élevages, ou issus de croisements et marronnage.

Un autre problème est l'utilisation massive et toujours préférentielle de munitions toxiques (au plomb) contenant des amorces composées de métaux lourds. Ce plomb est surtout à l'origine d'un problème grave et avéré de saturnisme aviaire malgré une évolution vers la substitution des cartouches au plomb par des munitions moins toxiques depuis les années 1980 dans certains pays et pour certains types de chasse. Dans plusieurs pays, la chasse avec des cartouches de plomb est interdite sur l'ensemble des zones humides (étangs, rivières, marais, littoral…)  ; les chasseurs ont l'obligation, dans ces zones, d'utiliser des cartouches de billes d'acier, ou d'alliages à base de bismuth ou de tungstène.

Chasse et santé

Le chasseur est plus exposé que la moyenne à plusieurs risques sanitaires, surtout dans certaines régions à risque, s'il dépèce lui-même et sans précaution son gibier, s'il ingère une viande mal cuite (trichinose), s'il pratique des modes de chasse où on est couché au sol, en forêt. Le contact avec l'animal ou avec des chiens infectés est aussi une source de risques sanitaires.

Les principaux risques sont :

Notes

  1. [pdf] Codex alimentarius.
  2. Binford, L. R. (1981) - Bones : ancient men modern myths, New York, Academic Press.
  3. Brain, C. K. (1981) - The Hunters or the hunted ? An introduction to African cave taphonomy, Chicago, University of Chicago Press, 365 p.
  4. Shipman, P. (1986) - «Scavenging or hunting in early hominids : theoretical framework and tests», American Anthropologist, 88, pp. 27-43.
  5. Joulian, F. (1993) - «Chasse, "charognage" et hominisation», Préhistoire Anthropologie Méditerranéennes, 1993, pp. 7-14.
  6. Brugal, J-P. et Jaubert, J. (1991) - «Les gisements paléontologiques pléistocènes à indices de fréquentation humaine : un nouveau type de comportement de prédation ?», Paléo, n° 3, pp. 15-41.
  7. Jaubert, J., Kervazo, B., Brugal, J. -Ph., Chalard, P., Falguères, Ch., Jarry, M., Jeannet, M., Lemorini, C., Louchart, A., Maksud, F., Mourre, V., Quinif, Y. et Thiébaut, C. (2005) - «Coudoulous I (Tour-de-Faure, Lot), site du Pléistocène moyen en Quercy. Bilan pluridisciplinaire», in : Données récentes sur les modalités de peuplement et sur le cadre chronostratigraphique, géologique et paléogéographique des industries du Paléolithique inférieur et moyen en Europe, Molines, N., Moncel, M. -H. et Monnier, J. -L., (Éds. ), BAR Mondial Series 1364, Actes du Colloque Mondial de Rennes, 22-25 septembre 2003, pp. 227-251.
  8. Jaubert, J., Lorblanchet, M., Laville, H., Slott-Moller, R., Turq, A. et Brugal, J. -Ph. (1990) - Les chasseurs d'Aurochs de La Borde - un site du Paléolithique moyen (Livernon, Lot) , Paris, MSH, Documents d'Archéologie Française n° 27, 157 p.
  9. Farizy, C., David, F. et Jaubert, J. (1994) - Hommes et bisons du Paléolithique moyen à Mauran (Haute-Garonne) , Paris, CNRS, XXXème supplément à Gallia Préhistoire, 267 p.
  10. Isaac, G. L. (1968) - «Traces of Pleistocene hunters : an East African example», in : Man the hunter, Lee, R. B. et Devore, I., (Éds. ), Chicago, Aldine, pp. 253-61.
  11. Site de l'association ROC

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

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"L'horreur de la chasse: des"

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